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Singletrack.fr > Les sorties > Le Diois, c'est encore sec... (Vercors) - 17/05/2016

Le Diois, c'est encore sec... (17/05/2016)

VTTRACK
SENTIERS PARCOURUS [+]
Ravin de Barri (T4/E1 D-:475m)
Forêt du Sapet : Serre la Souche (T3/E1 D-:420m)
L'Oursière (T3/E1 D-:450m)
SENTIERS PARCOURUS [-]
Ravin de Barri (T4/E1 D-:475m)
Etat : Bien sec. pas facile au début, car assez haché vu la difficulté.
Avis : Des épingles pas si faciles, à partir du panneau Ravin de Barri.

Forêt du Sapet : Serre la Souche (T3/E1 D-:420m)
Etat : Bien sec. Ca secoue un peu par moment, mais c'est normal c'est du VTT.
Avis : Beau sentier varié, avec quelques épingles pas si faciles.

L'Oursière (T3/E1 D-:450m)
Etat : Bien sec. Egal à lui-même.
Avis : Des épingles et des passages cassants. Normal c'est du VTT.

PHOTOS

Début du Ravin de Barri

Plus roulant

Ah, ben non...

Ayé !

Plus loin

Sentier de Serre la Souche

Sentier de l'Oursière

Passage cassant

Plus roulant

Châtillon en Diois
COMPTE-RENDU
Itinéraire : Châtillon en Diois > Col Gorodel > Ravin de Barri > Mensac > Serre la Souche > Châtillon > L'Oursière > Châtillon en Diois.

Ca commence à bien faire, y fait toujours beau et sec dans le Diois. Du coup je me sens obligé d'y retourner pour la dixième fois cette année. Rhalala !
Bon, départ de la rando à Châtillon en Diois à 9 heures 30, pour mon plus grand plaisir. J'avais prévu d'aller d'abord à Serre la Souche qui est excentrée, mais étant sûrement dans la lune je monte directement par la piste de l'Adret à la sortie de Châtillon. Au bout de 100m de dénivelé je me dis : " mais qu'est-ce que je fous là "? Tant pis je continue.

Me voilà au col de Gorodel, et l'idée me vient de changer mon itinéraire initial, et de rejoindre le Ravin de Barri. Descente de 100m de dénivelé sur une vilaine ancienne piste, je surprends deux chamois en train de brouter. Surprise, c'est moi... La suite c'est en portage sur le sentier qui remonte à plus de 1100m, et la vraie descente du Ravin de Barri peut commencer. ( C'est comme la source de la Loire...) Sauf que c'est pas très roulant dans le secteur. C'est haché comme un steak, et comme c'est très technique, je fais attention de ne pas finir entre deux tranches de pain avec du ketchup...

Ouf, me voilà au panneau Ravin de Barri, et à partir de là c'est que du bon beurre. Je me joue des épingles difficiles avec une dextérité qui m'honore, mais deux ou trois me donnent du fil à retordre. ( Faut être con quand-même pour aller détordre du fil aussi loin.)

je monte ensuite en mode avion > Serre la Souche, car j'ai faim et j'ai largement passé l'heure des vioks... Picnic, puis,

Descente du sentier de Serre la Souche. Je me régale, mais une épingle à raison de ma détermination. ( J'ai posé un pied.) Je croise un groupe de vioks vers le bas, et je leur demande s'ils n'ont pas vu ma soucoupe volante.( Je dis ça, car il fallait voir leurs têtes en me voyant...) lol !

Piste de l'Adret à nouveau pour monter à l'Oursière. Putain fait chaud, et il me reste moins d'un demi-litre de flotte. Bon, je vais monter doucement... De toute façon je suis cuit.

La descente de l'Oursière est toujours aussi plaisante, technique et variée. Tout passe bien, sauf le dernier bloc dans la gravette, juste avant Châtillon. Et comme souvent à cet endroit, je finis dans les ronces...

Trois beaux sentiers en descente, mais c'est pas toujours donné !


Participant : Moyeux Joel
Météo : Très beau, un poil chaud.
km : 35km D+ : 1600m D- : 1600m

(To Ride List)


COMMENTAIRES
Par JLS - le 17/05/2016 à 20:17

Copieur ! (comment ça c'est toi qui m'as tout montré ?!)
Le ravin du Barri supérieur, c'est comme la mère du même nom: faut pas s'écarter du droit chemin ! Y'a quelques marches avec de la peinture rouge sur la fin, comme si c'était un avertissement de ce qui peut t'arriver en cas d'écart.
Serre la Souche j'avais découvert en Juillet 2014, j'en ai bien mieux profité cette fois ci !
Dis moi, ton avion il avait 2 ou 4 roues ?

Par Moyeux Joel - le 17/05/2016 à 20:57

Effectivement y'a la mère supérieure avec un chapelet qui t'annonce la couleur...
En fait le mode avion, euh... C'est juste une boutade. Ca fait bien dans un compte-rendu, mais la réalité est moins gratifiante.
Et la vraie réalité de la dernière montée à l'Oursière, c'est parfois deux roues et deux pieds au sol.
Pas encore l'habitude de la chaleur, c'est qu'il gèle encore à Lans le matin.

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